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Bien que chaque individu soit unique, il se peut qu’avec l’expérience, vous identifiez certaines ressemblances parmi les passagers dont vous vous occupez. Gestuelle, façon de s’exprimer, mimiques du visage…, d’un vol à l’autre il se peut que vous retrouviez chez des personnes, que tout semble opposer, des façons d’être et d’agir similaires.

Nous vous avons concocté un petit tour des comportements les plus communs en avion.

Le « bourreau » de travail

Pour elle/lui, pas le temps de flâner. A peine est-elle/il installé(e) qu’il sort déjà son calepin, s’arme de son style et ouvre son ordinateur portable. Femme/Homme d’affaires, étudiant(e), quelque soit son quotidien, cet individu considère le temps de vol comme une période à optimiser en avançant dans son travail.

De ce fait, elle/il ne relèvera que très rarement le nez de ses dossiers.

L’insomniaque

L’insomniaque concerne toutes celles et ceux pour qui dormir pendant en vol est impossible. Cette « typologie » de personne pourrait même être divisée en deux « sous-catégories » :

  • Les insomniaques assumés et avertis : comme leur expérience a déjà dû le leur démontrer, ils savent pertinemment qu’ils ne dormiront pas. Alors plutôt que d’essayer, ils s’occupent : « bingewatching » de séries et de films, promenade dans le couloir pour se dégourdir les jambes, musique…., tout y passe.
  • Les insomniaques rêveurs, ceux qui espèrent réussir à trouver le sommeil. Du coup, ils essayent, se tournent dans tous les sens dans leur fauteuil, essayent un nombre incalculable de positions pour se sentir bien et rejoindre les bras de Morphée… …mais malheureusement pour eux, bien souvent, cela ne fonctionne pas.

Le dormeur

Par opposition à l’insomniaque, il s’agit là des personnes capables de s’endormir avant même que l’avion est décollé. Bien souvent, ces personnes ont fait en sorte d’être fatiguée en amont du vol afin de profiter du voyage pour se reposer et être moins sujettes au décalage horaire à l’arrivée. Il arrive parfois qu’elles ne se réveillent qu’après l’atterrissage en sentant l’animation des autres passagers autour d’elles.

Le/la stressée

Malheureusement il est parfois difficile d’échapper à la peur de l’avion. Agrippée à son accoudoir, bien renfoncée dans son siège, cette personne passera certainement les heures les plus longues de sa vie lors de ce vol. A l’affût de chaque craquement, grincement, ou petit mouvement inhabituel de l’avion, cet individu se distingue non seulement par le visage crispé qu’il affiche tout au long du vol mais aussi bien souvent par l’attention qu’il réclame. Face à ces personnes, soyez prêt(e) et disponible, mais surtout compréhensif/ve. Si pour vous, PNC, prendre l’avion est un jeu d’enfant, pour d’autres cela relève du véritable cauchemar.

Les passagers aux vessies prodigieuses

La nature du corps humain ne s’explique pas. Tout comme la capacité qu’ont certaines personnes de passer plusieurs heures sans aller aux toilettes. Alors que d’autres personnes vont se relever plusieurs fois, certaines ne bougent pas de leurs sièges, même pendant des trajets de plusieurs heures. Une force de la nature.

26-06-2019